Il vous faut lire un article intéressant de Josée Blanchette aujourd'hui dans Le Devoir intitulé Le libraire, dernier métier romantique. Je vous le souligne car même à l'ère des livres numériques qui font maintenant partie de la vie de bien des gens, je garde également mon livre papier sur ma table de chevet, il me suit dans la salle d'attente du médecin ou dans le parc l'été.
Bien entendu, les libraires se sont adaptés au nouveau marché mais ils vendent toujours, et je l'espère pour longtemps, les formats papier. Je ne peux présumer pour vous mais, lorsque je mets les pieds dans une librairie, je deviens «compulsive». Je ne me lasse jamais des découvertes qu'on peut y faire... et je sors la plupart du temps avec au moins un exemplaire dans mon sac.
J'aime entrer dans une librairie, flâner, découvrir ce que je cherche pas à prime abord, bref trouver un bouquin qui deviendra mon ami durant les prochains jours. Et puis, je ne le nierai pas, la section jeunesse m'attire plus que tout. Je tente de transmettre ma passion à mes petits enfants en choisissant soigneusement LE livre que je pourrai leur lire et, ma foi, j'y réussis très bien.
Bref, je vous invite à songer à votre rapport avec le livre... peu importe le format finalement. Car lire, c'est l'évasion, l'apprentissage, le dépaysement, la découverte, l'imaginaire, la vie...
Aucun commentaire:
Publier un commentaire