vendredi 29 janvier 2016

Et c'est reparti!

Après un arrêt bien mérité de quelques semaines, la Galerie DOSHA reprend ses activités avec une nouvelle exposition. L'exposition Tendresse : l'art de la douceur prendra l'affiche mercredi le 3 février prochain.

Février, mois de l'amour, de la tendresse, de l'amitié débute bientôt. La thématique veut rejoindre tous les gens peu importe qu'ils soient amoureux et amoureuses, célibataires, enfants, personnes âgées, adultes... peu importe, tous devraient y trouver leur compte de tendresse.

L'exposition regroupera douze artistes qui vous parleront de cette tendresse si importante dans la vie de chacun d'entre nous. N'oubliez pas de mettre cette événement à votre agenda. Le vernissage se tiendra le 13 février entre 14 h et 17 h. Cette fête sera suivie d'un cocktail dinatoire sous le thème «Souper des amoureux des arts» auquel il est possible d'assister. On me dit que les informations se retrouveront bientôt sur la page web ou la page Facebook de la galerie. 

Suivez toutes les activités de la galerie en 2016, le calendrier est disponible sur la page web.

 

vendredi 15 janvier 2016

Réal Calder : Vertige du voir

Je croyais avoir bien du temps mais c'est ce soir, 15 janvier, qu'a lieu le vernissage de l'exposition Vertige du voir de l'artiste Réal Calder. L'artiste nous présente cette exposition à Amos, en Abitibi. Je n'y assisterai malheureusement pas, mais ce n'est que partie remise. Je souhaite qu'il présente cette exposition un peu plus près de son lieu de résidence.


Comme le souligne l'invitation, l'artiste explore la représentation du paysage en peinture. Je  cite :
« Tout en larges trainées de couleur, de coulures eet d'empâtements exécutés au pinceau et à la spatule, il peint la matière terreuse, l'agitation des vagues, les rochers assaillis d'écume, l'action du feu, du vent et de l'érosion.»
Un artiste puissant ainsi que des œuvres qui ne laisseront personne indifférent, le Centre d'exposition d'Amos vous attend jusqu'au 13 mars 2016.

Je vous laisse avec deux photos offertes par l'artiste sur place. Elles parlent d'elles-mêmes.

Réal Calder, Vertige du voir, gracieuseté R. Calder

Réal Calder, Vertige du voir, gracieuseté R. Calder
 

dimanche 10 janvier 2016

Inspiration selon Bernard Lévy

Il fallait en parler pour que je trouve un passage intéressant. Dans le livre de Bernard Lévy La nuit du violoncelliste : romans accélérés, j'ai retrouvé ce passage que je vous offre ce matin. Merci à monsieur Lévy. Vous trouverez les informations relatives à son livre au bas du billet. Bonne lecture.





Et voici les coordonnées de son livre.

La nuit du violoncelliste

samedi 2 janvier 2016

L'inspiration artistique : pas encore?

Bien oui, je suis sur ma lancée sur l'inspiration dans les arts, je pourrais vous en jaser pendant encore au moins dix billets mais je vais terminer avec celui-ci ce matin. Je vous ferai grâce des neuf autres écrits sur le sujet.

Je vous parlais d'artistes qui en influençaient d'autres dans mon dernier billet. J'oubliais de dire qu'il n'y avait pas uniquement des artistes qui en influencent d'autres. Il y a des thématiques, des événements, des paysages, des visages même inconnus, des projets ou des opinions... peu importe, tout peut devenir un sujet de recherche ou de réflexion.

Que l'on parle d'environnement, de crise de réfugiés, d'attentats, de retrouvailles ou même de tempête hivernale... tout peut devenir sujet à explorer l'art. Chaque artiste vit une certaine influence, pas nécessairement la même pour tout le monde, mais peut créer des œuvres remarquables à partir d'une simple thématique. 

Que ce soit en arts visuels, en cinéma, en littérature, en danse... peu importe la forme d'art, elle peut dénoncer, accuser, glorifier, critiquer ou encore encourager. L'artiste qui réagit à un attentat suicide créera une «opinion» sur le sujet. Nous n'avons qu'à regarder les milliers de dessins ou d’œuvres qui ont été créés en réaction à l'événement de Charlie Hebdo en France l'an dernier.

Mais les réactions peuvent également souligner la beauté de la vie, la tendresse, l'amour ou tout simplement l'amitié. Il faut un peu de belles choses et pas seulement des horreurs. Les artistes ont, je dirais, une certaine obligation à rendre compte du monde qui les entoure et qui les inspire.

Je pense ce matin à Claire Bienvenue (billet du 23 août 2015), à Lise Vigeant (billet du 25 août 2015), à Ginette Bernard (billet du 26 mai et celui du 20 août 2015), Armand Vaillancourt (billet du 3 mars 2014), Paul-Émile Borduas et le groupe des automatistes qui ont produit le manifeste du Refus global. Je ne nomme ici que quelques artistes québécois. Le monde entier compte, pour chaque pays, des artistes qui dénoncent ou parlent de leurs préoccupations, de leurs coups de cœurs et de leurs batailles contre un système établi.

Et ce matin je veux lever mon chapeau à tous et toutes ces artistes qui continuent de témoigner de leurs vécus, préoccupations et réactions face à des situations qui les dérangent ou les inquiètent.

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