Je viens de terminer le nouveau Dan Brown, Inferno. J'ai aimé de façon globale même si ce dernier roman ne dépasse pas le suspense du Code Da Vinci, Anges et démons ou encore Le symbole perdu. On finit par deviner avant qu'il ne le dise certains détails de l'aventure de Robert Langdon (encore lui), aventure un peu tirée par les cheveux. Mais, au moins, je vois Tom Hanks lorsque je m'imagine le professeur spécialiste de symbologie...
Pour le reste, on se retrouve dans un univers dantesque, dont le titre Inferno, le célèbre enfer de La Divine comédie. Je vous laisse le soin de découvrir ce roman par vous-mêmes. Ce que j'aime de Dan Brown, ce sont les descriptions qu'il fait des œuvres d'art dont il est question dans le roman. Autant les descriptions des toiles, des sculptures, des lieux où l'action se passe, des architectures diverses. On a l'impression de tout voir en même temps que les protagonistes du roman. Cependant, ces descriptions peuvent agacer certains lecteurs. Si vous avez aimé les trois premiers romans, vous risquez d'être un peu déçu mais vous tournerez tout de même les pages assez facilement rassurez-vous.
Qui est diable et qui est Dieu? Il faut attendre la fin (ou presque) pour le découvrir. Une intrigue plus contemporaine que les trois premiers romans de Brown, une fin qui est moins «infernale» qu'annoncée, peut-être que la recette s'épuise mais on en arrive tout de même à se laisser embarquer dans l'histoire malgré certaines «coïncidences» un peu «cinématographiques» qui arrivent pile au bon moment.
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